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À nous le podium | Snowboard Canada : Une culture axée sur les gens pour être les meilleurs au monde

Snowboard Canada

Dans un contexte d'évolution constante de la culture sportive,
Snowboard Canada s'est engagé à adopter un modèle axé sur les gens

Pour Dustin Heise, le niveau d’ambition est à peu près équivalent à celui de Max Parrot qui réussit un Double Backside Rodeo 1440 ou de Mikey Ciccarelli qui réussit un Cab Triple 1620.
 
Génial. Audacieux. Le top du top mondial.
 
« Nous nous sommes vraiment ralliés à l’idée que nous ne voulons rien de moins que d’être la meilleure organisation de snowboard au monde », déclare le chef de la direction de Snowboard Canada.
 
« Pourquoi devrions-nous faire moins que ça ? », ajoute-t-il.
 
« Le conseil d’administration et le système se rallient donc à cette idée, et nous la définissons pour que tout le monde comprenne ce que nous voulons dire ».
 
Dans un contexte d’évolution constante de la culture sportive, Snowboard Canada s’est engagé à adopter un modèle axé sur les gens, qu’il convient d’imiter. Cette croyance à l’échelle de l’organisation, non pas un faible espoir ou des paroles en l’air, mais une croyance réelle, a, selon M. Heise, contribué à faire avancer les choses.

Mercedes Nicoll est aujourd’hui représentante du conseil des athlètes, qui assure la liaison entre les entraîneurs, les administrateurs et les athlètes. Il y a dix ans, elle n’aurait jamais envisagé de prendre ce poste.
 
« Il y avait de l’animosité, explique Nicoll, quadruple championne olympique de demi-lune. « C’était un vrai défi et ça l’est toujours pour beaucoup d’anciens qui ont été blessés par la façon dont ils ont été traités. Ce n’est pas encore parfait, ce genre de choses prend du temps, mais des progrès ont été réalisés au cours des dix dernières années.

« (L'ancien directeur exécutif) Patrick Jarvis a amorcé le changement. Puis, lorsque (le chef de la direction) Dustin Heise est arrivé, il a voulu écouter et apprendre, non seulement des athlètes, mais aussi d'AthlètesCan. Il les a contactés dès le début pour que nous puissions tous travailler en collaboration. Le processus a duré sept ans et nous sommes arrivés à un point où je pense que la collaboration et le travail sont en train de s'établir. « Le snowboard n'est pas vraiment un sport comme les autres parce qu'il y a de la camaraderie même si vous êtes en compétition les uns contre les autres. Je pense que nous pouvons vraiment être fiers de ça ».

Mercedes Nicoll